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Étude exclusive de Space, Pulsar s’intéresse principalement aux aptitudes de différents points de contacts à remplir des tâches de communication. Son objectif premier est d’informer des stratégies médias et hors médias. Pour compléter ce volet principal, l’étude comporte une série de questions sur les habitudes de consommation, dont notamment les sources utilisées par les consommateurs pour leurs décisions d’achat.
Comme dans l’édition précédente, on trouve un tiercé de tête constitué de confiance dans les marques, de promotions et de perception de qualité, qui sont pratiquement à parité les trois critères les plus cités (dans l’édition précédente, c’était les promotions qui dominaient, mais d’une très courte tête).
Ceci étant, même dans ces cas-là, les proportions d’avis favorables ne sont pas minces, puisqu’elles dépassent les 60%. Une approche par affinité - techniquement, une analyse factorielle de correspondances - révèle que les critères de choix se structurent principalement selon l’âge et dans une moindre mesure selon le degré d’instruction des répondants.
La confiance dans les marques, le souci de la qualité ou la prise en compte de la réputation rassurent plutôt des consommateurs âgés, probablement forts de leur expérience.
Les individus moins favorisés seraient plutôt sélectifs sur les promotions (ce qu’on comprend bien) et le contenu des médias (ce qui est plus surprenant).
Les papes de l’efficacité marketing, Les Binet et Peter Field, ne parlent pas d’autre chose lorsqu’ils vantent le nécessaire équilibre entre construction de marque et activation : c’est aussi ce qu’on retrouve dans les best practices inspirées de Pulsar.